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8 février 2007

Revue de livre de Van Gogh

« Bien, le vieux garçon, ce livre de Gayford, la Chambre jaune, était bonne lue fendante, » dit I à l'apparition de l'artiste.

« Hharumphh, » il offre. Peut-être que la blessure de coup de fusil méchante au coffre donne lui à des douleurs. Peut-être que la serveuse française n'a pas apporté à son cappuccino assez vite.

Et là nous avons le coeur du problème avec ces livres concernant le grand artiste ! Ils essayent de l'interpréter par de divers objectifs. Qui peut vraiment deviner son intention dans une oeuvre d'art donnée ?

Gayford, dont recherche et la bourse est en second lieu seulement à ceux qui ont compilé et ont catalogué les travaux complets du VG, a écrit beaucoup que j'aime, et beaucoup avec lesquels je discute.
Discutez-vous jamais avec des auteurs pendant que vous lisez leurs livres ? J'espère ainsi. La pensée critique est une partie essentielle d'étude.
Gayford propose la manie de ce VG, qui est pensée par certains pour avoir été désordre bipolaire (dépression maniaque), est essentiel aux résultats de ses peintures. Mais, il énumère simplement quelques autres artistes, auteurs et les compositeurs qui ont soufferts de cette maladie, sans n'importe quel exemple ou recherche la montrant est des effets sur leur art.
Je pense qu'il doit éliminer si quelconque d'entre ces hommes affligés aurait réalisé les mêmes niveaux sans manie, ou avec la suppression de la manie par l'intermédiaire du traitement. C'est un ordre grand, je savent.
Le travail de Van Gogh's est unique dans l'histoire, et tout à fait irracontable. Personne d'autre sauteront jamais le début le mouvement moderniste, depuis c'est « dans le bidon », ainsi pour parler. Mais, le niveau de la transformation travaillé par l'art du Néerlandais, tel qu'influencer une vingtaine de mouvements de suite, l'ouverture de la manière pour une plus grande abstraction dans l'art, et pour que la permission concentre plus sur la couleur pure que jamais avant, est son seul manteau.
Sa grande influence sur l'art est une échelle de concordance, plutôt qu'un sous-produit d'euphorisme.
Naturellement, son histoire personnelle est plus dramatique, je pensent, que n'importe quel autre artiste un peut penser à. Elle l'a est effet sur l'appréciation du public de lui, et lui même des stéréotypes tous les artistes de quelques manières plutôt sans attrait. Mais, sa postérité est plus une question de l'acceptation de ses travaux par le monde critique d'art, de sa pairie, et du désir faisant rage du marché de rassembler son art. Cela continue à ce jour. J'ose la parole qui si vous trouviez un fourgon Gogh à une brocante à domicile, vous ne s'arrêterait probablement pas à l'exposition de route d'antiquités pour une évaluation. Vous feriez un beeline pour Christie ou Sotheby !
Je labourerai par les travaux complets, maintenant, à la recherche de plus de données sur cet artiste énigmatique. Mais, j'encouragerais